L’Opus Dei, fondé le 2 octobre

l'opus dei est pour la fouleLa date fondationnelle approche, et tous les ans, une certaine frénésie s’empare des membres de l’Opus Dei. Frénésie, le mot est un peu fort. Disons plutôt joie, action de grâce… ce que l’on appelle “une fête de famille”.

C’est vrai, cette fête est un grand moment de joie pour les membres de l’Opus Dei. Mais j’aimerais qu’il devienne un grand moment de joie pour tous, au même titre (mutatis mutandis) que nous nous réjouissons de la fondation des franciscains, de la fondation des jésuites, des dominicains, etc. C’est à dire, à chaque fois que nous constatons une intervention de Dieu dans la vie des hommes et dans la vie de l’Église.

Car c’est bien de cela dont il s’agit : Dieu n’est pas intervenu pour un groupe d’hommes et de femmes, il est intervenu pour demander à un jeune prêtre de rappeler que nous pouvions tous mener une vie spirituelle intense à travers l’exercice de notre travail professionnel; que celui-ci (le fait d’être dans le monde) n’était pas un obstacle à une vie contemplative, une “amitié” avec Dieu grâce justement à notre vie dans le monde.

Ensuite, soulignons l’idée que l’Opus Dei n’est pas une association : il n’est pas le fruit d’un groupe d’homme qui auraient voulu s’associer pour atteindre un but. L’Opus Dei est une fondation, une idée transmise par Dieu à un homme seul.

Et ce phénomène se perpétue. L’élément déclencheur de l’adhésion à l’Opus Dei est le sentiment d’y être appelé par Dieu, et non du désir de s’associer à d’autres.

Deux idées à approfondir, et à faire connaitre. Alors bonne fête à tous !

Articles similaires

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

You may use these HTML tags and attributes: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>


trois + = 12